Une petite trouvaille a transformé mon quotidien dernièrement : le vide-poches. Comme son nom l’indique, ce récipient a pour vocation de recevoir toutes les petites bricoles qui traînent dans les poches ou dans le sac et qu’on finit par ne plus retrouver. À la fois décoratif et fonctionnel, il se place idéalement dans l’entrée. Corbeille en osier, saladier en grès, boîte en carton colorée ou en corde, à acheter ou à fabriquer soi-même : tout fait l’affaire. Pour ma part, j’ai choisi une superbe coupelle en mosaïque berbère aux tons dorés.
J’ai vite pris le pli. Dès que je rentre, je me débarrasse de mon bric-à-brac. Mon vide-poches regorge d’objets hétéroclites : pièces de monnaie, allumettes, téléphone portable, tickets de métro, etc. Désormais, avant de pousser un juron sonore, je me précipite vers ma console d’entrée pour vérifier si ma liste de course ou mon porte-clés ne s’y trouve pas.